HO n°9 – SOL
« Le corps est toujours au centre du dispositif de perception et chacun opère « un réglage » dans sa propre construction du monde qui repose sur une conception et une représentation d’un espace vécu, tangible, logique et orienté avec un haut, un bas, un droit, un envers. Dès lors, pensé au sol, à l’horizontalité, c’est réactiver notre mémoire corporelle indissociable de notre faculté à saisir, de construire une forme, d’habiter l’espace. » Pierre-Yves Magerand.
HO n°51 – faites la fête
» De tous temps et de toute part, la fête a rythmé les sociétés humaines, marquant les cycles de la vie, rassemblant autour de symboles, autorisant des moments d’euphories, de relâchements, voire de transgression. Ces parenthèses dans les quotidiens prennent des formes et des significations divergeant d’une société à une autre. » Laëtitia Toulout
HO n°50 – chaleureuses salutations
» Dans le cadre de ma proposition d’exposition à Interface situé au rez-de-chaussée du 12 rue chancelier de l’Hospital, j’ai proposé de renommer le journal horsd’œuvre qui y est associé en « ouvre dehors » par le biais d’une anagramme et de lancer sous ce nouveau titre une invitation ouverte à ses rédacteurs. » Yann Sérandour
HO n°49 – IN SITU
Pour ce nouveau numéro, Interface a souhaité mettre l’accent sur la notion de l’in situ. Malgré de très nombreux écrits à ce sujet depuis les années 1970, les rédacteurs ont exploré des pistes assez différentes permettant de conclure qu’il n’y a pas une seule pensée de l’in situ et que ces réalisations peuvent se matérialiser à travers des œuvres singulièrement opposées conceptuellement comme matériellement. Ces quelques écrits viennent aussi présenter l’in situ à travers une transversalité des champs de la création : arts plastiques, musique, danse, performance…
HO n°48 – ressentir les mondes
» Relevons d’emblée un paradoxe : le journal que vous vous apprêtez à lire se propose de réfuter, d’une certaine façon, l’approche visualiste de la création contemporaine. Nous nous proposons un voyage au sein de propositions qui se vivent de manière essentiellement tactile, olfactive et gustative, voyage que vous ferez ici pour l’essentiel en parcourant de vos yeux les textes et les images que nous avons récoltés à votre intention. » Nicolas-Xavier Ferrand
HO n°47 – Bien vues, mal vues, pas vues
« (…) Mais qu’est-ce qui est « bien vues, mal vues, pas vues » ?!
(…) Ce numéro de horsd’oeuvre fait état de quelques expositions significatives que l’on aurait voulu mieux voir sur le territoire. Des expositions tronquées de beaucoup de semaines de visibilité, des expositions montées et démontées sans avoir été vues, des projets décalés d’un an ou deux, des expositions qui n’auront au final pas lieu. (…) » Frédéric Buisson
HO n°46 – Dipla pragmata
« (…) Le présent numéro d’horsd’œuvre interroge précisément cette position impossible dans laquelle nous enfermons les choses. Par obsession catégorielle, nous leur refusons la possibilité de l’ubiquité. Par dandysme ontologique, nous récusons les objets qui ne seraient désespérément qu’eux-mêmes : c’est notre aveuglement à l’outil, c’est notre détestation de la tautologie. Ainsi, les choses ne peuvent ni renvoyer à elles-mêmes, ni suggérer une multiplicité d’identités. (…) » Nicolas-Xavier Ferrand
HO n°45 – IN VIVO
« (…) force est de constater que le contexte particulier des années 2010 a eu un impact évident sur les artistes. Plusieurs faits ici sont entrés en synergie : d’une part, le dérèglement climatique et son installation définitive, quotidienne, dans les consciences ; de l’autre, une lente évolution des sociétés modernes sur les rapports entretenus entre les humains et les non-humains : bien-être animal, nouvelles considérations pour les insectes, attention au végétal. (…) » Nicolas-Xavier Ferrand
HO n°44 – réinventer le monde
« Dans un contexte de prise de conscience généralisée des bouleversements écologiques et d’une révolution féministe en cours, on note un certain retour des réflexions écoféministes. Le mouvement, né aux États-Unis dans les années 1970 (…), propose une vision intersectionnelle des luttes et des êtres (femmes, animaux, plantes, …). (…) Puisqu’il s’agit de se figurer d’autres manières d’appréhender le monde, les représentations et donc les arts sont centraux dans les idées et actions écoféministes. » Laëtitia Toulout
HO n°43 – Rien à ajouter
« À une époque où les cycles de l’art, par la fréquence de leur renouvellement et leur tendance à rejouer un passé de plus en plus récent, ressemblent à ceux de la mode, il me semble nécessaire de se poser un certain nombre de questions élémentaires quant à une définition acceptable et ouverte de l’art.(…) l’occasion de mettre en lumière les recherches de quelques artistes discrets, mais pertinents, dont les travaux ne sont ni emphatiques ni spectaculaires mais portent sur des spéculations cruciales.» Hubert Besacier
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HO n°42 – Un numéro mythique !
Récits symboliques, les mythes relèvent d’une relation équivoque avec la réalité. […] L’art s’est emparé depuis leurs origines de ces systèmes de représentations constitutifs de toute culture, et n’a eu de cesse de les éprouver. […] Les mythes sont peuplés de monstres combattus sans relâche qui font naître les héros; l’histoire de l’art, reprenant la figure héroïque, a engendré un système qui est une réponse universelle à la magie de la création de l’image.
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HO n°41 – Parole(s) exposée(s) – Paroles exposante(s) – Les voix des autres
Il convient de définir le champ des arts visuels comme un champ de pratiques qui se caractérise par un régime d’existence a priori silencieux. On se souvient à ce propos de la remarque de Daniel Arasse concernant la peinture comme expression non verbale. Si les avant-gardes ont pour une part fait émerger l’usage du langage et de la parole dans des pratiques artistiques qui dépassèrent le champ du visuel pour embrasser celui du performatif.
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HO n°40 – 1997-2017: L’âge de(s) raison(s)
Cette année le journal fête ses 20 ans d’existence. Pour le numéro 39, nous avons abordé la question du « point de vue » que l’on porte sur l’art contemporain et de la place qu’on attribue à l’art dans la société, de sa relation au monde ou de son détachement par rapport à celui-ci. N’ayant pu publier ou solliciter toutes les personnes que non aurions voulu, nous avons décidé de prolonger ce numéro dans le 40 ème.
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HO n°39 – Point de vue – Image de l’Art
Pour ce numéro, Philippe Ramette a investi la double-page centrale. Ce fut l’occasion d’aborder la question du « point de vue » (présent aussi dans son œuvre) que l’on porte sur l’art contemporain et de la place qu’on attribue à l’art dans la société, de sa relation au monde ou de son détachement par rapport à celui-ci.
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HO n°37 – TECHNO-MYST
« Nous avons essayé de tout contrôler mais nous avons fini par créer quelque chose que nous ne contrôlons pas, et que nous ne pouvons peut-être pas comprendre. Car telle est la caractéristique de la véritable intelligence artificielle : par définition, c’est quelque chose que l’on ne peut pas comprendre. Si on peut la comprendre, alors ce n’est qu’une machine. C’est quand les machines commencent à faire les choses qui nous échappent, que nous ne comprenons pas, que l’intelligence peut vraiment survenir. » George Dyson
HO n°38 – Art / Flux / Documentaire, Voir et Montrer
Ce numéro s’intéresse à la question de l’image documentaire confrontée aux nouveautés de notre époque : « Dans le contexte actuel, que l’on sait caractérisé par une présence généralisée des images, les artistes se sont largement appropriés les mécanismes de représentation de la société de consommation : usage d’images extraites de leur contexte, perte ou effacement de l’origine et de l’auteur des sources, spectacularisation des représentations, banalisation des sujets ». Julie Martin
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HO n°11 – Danger
« De l’art contemporain s’exhale le danger. Agressif ou virtuel, réel, imaginaire, né du reflet d’enfer où le monde est plongé.Garons-nous des viennois aux mœurs de caïman et prenant garde au plaque d’acier de Serra. Rendons quand même grâce au frisson qui nous prend » Michel Rose
HO n°36 – Art Artisanat
L’entremêlement de l’artisanat avec l’art par les artistes et par les acteurs de l’art contemporain en France. L’artisanat étant aussi dévalorisé et dans l’ombre de l’art contemporain. Pourtant des artistes zigzaguent entre les deux notions avec la reprise de savoir ancestraux.
HO n°35 – Art & Alimentation – Le monde ingéré
L’aliment engage une relation intime avec l’individu car il est incorporé. Comme l’explique l’anthropologue Claude Fischler et le sociologue Jean-Pierre Poulain, l’aliment « devient le mangeur lui-même, participant physiquement et symboliquement au maintien de son intégrité et à la construction de son identité ». Ainsi le statut et les représentations de l’alimentation participent à la construction à la fois individuelle et collective de la société.
HO n°34 – Paysage et grands espaces
Les paysages et les grands espaces sont ce qui entourent tout humain. Pourtant ces éléments simples sont fantasmés, étudiés et retranscris pour faire partie d’une émotion associée à leur vue. On peut être confronté au problème de l’art dans l’espace public qui n’est pas compris de tous et dans l’autre sens, il peut être imaginé d’amener une part de paysage à l’intérieur d’un espace clôt. De manière plus aisée, le paysage a été décliné sous différents médiums, formats, comme la photographie pour être au plus proche du réel.
HO n°33 – Art & Son
Le son, comme une présence invisible, permet de faire ressentir autrement la volonté de l’artiste à faire passer une émotion, de jouer avec le corps, de le faire vibrer. Les yeux ne sont pas stimulés comme dans l’art dit « traditionnel » mais ce sont bien les oreilles qui le deviennent. Le son tout comme l’odorat est un élément marquant pour les souvenirs. Les guerres, avec ses bombes, sont des bruits universels véhiculant pour tous les mêmes idées et le même imaginaire.
HO n°32 – Les socles de l’art
Les socles de l’histoire sont les œuvres d’art qui ont vu le jour pendant les périodes de crises. Elles permettent entre autres de créer la mémoire des pays, de devenir des témoignages et de retranscrire ses épisodes douloureux comme les guerres. La parole ne se voulant pas poétique, elle peut le devenir. Ce sont également des moments où un manifeste peut devenir une œuvre d’art. « L’art peut-il réparer l’histoire » ? Adeline Blanchard
HO n°31 – Propaganda
« L’Homo oeconomicus » vit dans un monde de propagande que ce soit pour les produits de consommation, les différentes marques, le luxe, etc… Pour lui faire acheter toujours plus, ce sont les mêmes outils qui sont utilisés : la communication, les moyens de production, la mise en avant de la qualité, l’image et la notoriété. Beaucoup de marques vont prendre le chemin de l’art pour changer ses codes et s’immiscer vers la photographie d’art.
HO n°30 – MONUM
Monument, monumental, monumentalité, et puis plus rien … ? Ce numéro est une collaboration entre Interface et l’Université de Bourgogne où anciens étudiants et doctorants se sont vu confier la réalisation de ce numéro. Ce sujet fait écho à l’exposition sur François Rude qui a eu lieu au Musée des Beaux-Arts de Dijon en automne 2012. Dans ce contexte, Horsd’œuvre offre un regard sur l’art actuel et ses relations avec le monument.
HO n°29 – Niveau de l’art
« Echéance électorale oblige, le questionnement qui a animé le comité de rédaction en ce début d’année 2012 s’est d’abord focalisé sur l’engagement. Mais plutôt que d’axer une réflexion sur l’art dit engagé ou politique, il nous a semblé plus judicieux d’étudier les modalités d’un art qui se confronte réellement au public, une population une société. La préoccupation quasi physique de l’autre paraît être le moteur qui bien souvent fait sortir l’œuvre en dehors de l’espace d’exposition » Bertrand Charles
HO n°28 – Art & Perception
« La question c’est le réel, la perception sa réponse. » Florence Paradeis en parlant des outils qu’elle utilise pour travailler. L’œuvre d’art est modifiée et influencée par les couleurs qui sont utilisées pour la réaliser mais aussi par les lumières et l’espace dans lequel elle se situe. Beaucoup de courants artistiques comme l’art cinétique, la musique des Pink Floyd ou encore le l’Op Art jouaient sur les sens pour donner une perception nouvelle et futuriste.
HO n°27 – When rock gets up your nose
A la manière dont Jerry Lee Lewis a eu de brûler son piano ou que les Who avaient de détruire leurs instruments à la fin de leur concert, cette pratique devient une marque de fabrique et un « art » souvent imité mais jamais égalé par les autres groupes. Le live et l’explosion des guitares deviennent comme une performance ou un happening. Une autre facette de la production artistique est la production d’une pochette d’album toujours plus original, artistique et qui reflète l’identité du groupe.
HO n°26 – L’ar ë ailleurs !
« Patti Smith […] voyait dans le rock la dernière forme de religion, mais aussi la dernière forme de l’art. […] La religion ayant perdu son emprise car n’ayant pas su évoluer avec son époque, et l’art s’étant débarrassé de toute volonté de changer l’Homme ou le monde.» Bertrand Charles
La religion se retrouve dans tous les domaines artistiques tout comme le mysticisme et les rites chamanistes pouvant emprunter ce chemin.
HO n°25 – I want to be a media
« Pouvoir/contrôle/ordre. Le triangle est connu, c’est celui qui structure une part de notre société. L’ordre est le principal objet de pouvoir et le contrôle est l’outil qui le permet. » (…) « le « voir sans être vu » permet, aujourd’hui plus que jamais d’établir un certain ordre des choses. Et les caméras de surveillance sont évidemment l’exemple paroxystique (et déviant) de l’usage quotidien de la pensée de Bentham. » Guillaume Mansart
HO n°24 – [In]Visible
« Récits d’aventures, comptes rendus, actions, work in progress… Sans être pour autant qualifiées de « performances » certaines pratiques se définissent par l’acte (en) lui-même plutôt que par leur mise en forme. Œuvres réalisées hors champ traditionnel ou conventionnel de l’art (atelier, exposition, médium classiques) elle pose d’emblée la question de leur propre visibilité et de leur « durée de vie » (que deviennent-elles après l’acte ?). » Bertrand Charles
HO n°23 – Le miroir
« L’image ne serait plus une trace instantanée de la réalité dont les formes seraient figées mais un état dans un processus. Sa dimension « latente » demande que l’on se porte au-delà des apparences pour entrer dans une vision énergétique. En réclamant ce potentiel à l’observateur, Duchamp double l’œuvre d’une autre mécanique, celle des corps physiques et mentales. » Martine Le Gac.
HO n°22 – Access to document : Access through document
« La dématérialisation de l’art amorcée à l’ère post-moderne par les artistes minimaux et surtout conceptuels à paradoxalement contribué à une capitalisation de l’immatériel réapproprié par le marché. Le document est passé d’un espace sur l’art à un espace de l’art et d’une valeur testimoniale, historique ou archivistique à une valeur d’autorité, modifiant son statut artistique ou économique. » Ecole du magasin, Session 17
HO n°21 – L’événement peut-il faire art ?
« Rappeler le souvenir n’est pas la moindre des préoccupations artistiques, alors même que l’art ne se départit que très rarement de son cérémonial spécifique – intronisation, commande officielle, éviction ou acceptation du milieu, vernissage manifestation, finissage. » Eric Laniol
HO n°20 – CMJN – Dix ans du journal Horsd’oeuvre
Il s’agit du 20e numéros qui célèbre les 10 ans du journal Pour cela il n’y a eu aucun texte. Nous avons fait appel à quatre artistes où chacun a utilisé une couleur du logo qui lui-même reprend les quatre couleurs de la quadrichromie, le cyan, le magenta, le jaune et le noir.
HO n°19 – Art & graphisme
« A la différence de l’œuvre d’art traditionnelle, le graphisme n’a jamais été complexé par l’association du goût esthétique et du consumérisme. Dans sa jeune histoire, il s’est toujours défini par son intégration au système de production et aux mass-médias. » Arnaud Fourrier et Etienne Bernard
HO n°18 – Vidéo
« Vidéo tu retiens les ravages du temps, instrument du voyageur qui observe autrement. Dans la ville tu vas partout au gré du vent, en quête d’insolite et de chambardement. On dit que grâce à toi on voit différemment » Michel Rose
HO n°17 – Identités
« Les occidentaux se croient dans une position culturelle dominante, les cultures d’autrui n’étant que des hors-d’œuvre, des en-cas entre les vrais repas » Chen Zen
HO n°16 – Archi-plastique
« La question du rapport à l’habiter explique en partie la place essentielle que la dimension architecturale tient dans la réflexion de nombreux plasticiens contemporains. L’habiter, c’est-à-dire l’ensemble des relations aux espaces de vie, l’ensemble des faits géographiques, politiques, affectifs, intimes relatifs aux résidences éphémères de l’homme. » Eric Laniol
HO n°15 – La disparition
« Deux moments sont impliqués par le terme « disparition » : celui pendant lequel se produit la disparition (désintégration) et celui qui valide l’anéantissement total et définitif (la non-existence). Intérêt de cette thématique : elle signale une métamorphose et non pas un statut figé. » Cécile Desbaudard
HO n°14 – Hybrid
« L’Hybride est affaire de frontière. L’hybride à ouvert aux hommes des perspectives éblouissantes : de l’Antiquité à notre époque dite postmoderne, des créatures aberrantes sont apparues dans les représentations humaines, croyances arts et même dans les laboratoires scientifiques où depuis quelques décennies naissent en chair et en os les nouvelles chimères » Valérie Dupont
HO n°13 – Ch-attitude
« Durant la dernière décennie, les attitudes artistiques provocatrices s’étant largement multipliées et largement diffusées à la suite d’artistes-stars médiatisées comme Koons, Mac Carthy, Kelley, Cattelan, Hirts, les colloques universitaires, les critiques d’art se sont penchés savamment sur les thèmes du mauvais goût, de la bêtise, de l’idiotie, et en ont cherché les antécédents et origines » Marie-France Vô
HO n°12 – Dessins
« Il ne me semble rien de plus paradoxal, dans le champ artistique actuel, que de poser la question du dessin, pratique lourdement située dans l’histoire, et dans le même temps modalité constamment active, mobile et défricheuse. […] le dessin est surtout aujourd’hui une formidable machine à expérimenter » Eric Laniol
HO n°10 – Les cris
« Avant la modernité, l’usage du texte dans la peinture n’a pas, semble-t-il, soulevé de scandale ou nécessité de querelle. Alors « quelle rupture a-t-il fallu pour que les modernes se risques à cet emploi comme à une transgression ? […] La question suffit pour introduire historiquement le problème de l’écrit dans l’art au XXe siècle comme une attitude transgressive. » Valérie Dupont
HO n°8 – Appart
« Dans ce vide – ou presque – l’artiste interprète différemment le monde qui l’entoure, avec plus de détachement (indifférence duchampienne) et sérieux, explorant les domaines de la vie, des sciences, des autres créations : danse, cinéma théâtre… » Valérie Dupont
HO n°7 – Gardes à vue au Commissariat
« C’est ce que j’appelle la conception du pur « visionnaire », celui qui a un « œil », ou une « vision théorique » particulièrement remarquable. Mon œil ! Il s’agit là de la résurgence de l’amateur éclairé, du génial mécène, du non-artiste particulièrement engagé et proche des artistes, en fait le pendant direct de l’artiste « inspiré ». Emmanuel Latreil
HO n°6 – Avant le bug de l’an 2000, Faites vos valises !
L’actualité de l’art contemporain en Bourgogne durant l’année 1999. Présentation des évènements de Jean Le Gac, Marc Camille Chaimowicz, Didier Marcel au domaine de Kerguéhennec, Geoffrey Gross, Agathe Lievens, Olivier Lukaszczyk et Stéphane Joly, de Veronique Varstraete, Denis Catellaset de Thomas Bief et de Domonique Lacoste.
HO n°5 – Funny ( How I Stopped Lovin’ You)
L’actualité de l’art contemporain en Bourgogne durant l’année 1999. Présentation des évènements avec cinq particuliers dijonnais qui ont accueilli cinq artistes chez eux, “Following and to be followed”, Pascal Sequer et Laurent Thirion, Gunter Umberg, Gérald Petit et Lilian Bourgeat
HO n°4 – REC / PLAY / REW / FF / STOP / EJECT / PAUSE
L’actualité de l’art contemporain en Bourgogne durant l’année 1997/1998. Présentation des différentes expositions avec « Alexandrie – seule la ville est réelle – Le Caire, la terre qui boit la rosée » de Ange Leccia, « An Erotic Game » de Jérôme Maigret, Art’Copal, « World Cup » au Transpalette, les expositions de Sloan Leblanc, de Bernard Borgeaud, Les sculptures momentanées de Erwin Wurm et les évènements de Why note.
HO n°3 – Où est-il l’été? L’été où est-il?
L’actualité de l’art contemporain en Bourgogne durant l’année 1997/1998. Présentation des différents événements avec « Série Noire » à l’Eldorado, « Estiv’art » à Lyon, l’exposition de Daniel Buren à Dijon, « A fleur de peau » au Fort Beauregard à Besançon, « Poussières » au Frac Bourgogne, Peter Downsbrough à l’Espace des arts à Demigny, la création de l’association « Pour l’art contemporain » à Bourbon-Lancy, l’ouverture du conservatoire de musique et danse de Jérôme Brunet et Éric Saunier à Chalon sur Saône.
HO n°2 – Faut-il en finir avec l’appartement?
L’actualité de l’art contemporain en Bourgogne durant l’année 1998. Présentation des différents évènements avec Hans-Ulrich Obrist, « Pour vivre heureux, vivons caché » d’Yves Aupetitallot, « Opération HLM » de Claude Lévêque et Valerie Pigato, Christian Boltansky et Jean Le Gac pour « Local I », « Local II », « Local III » et « Local IV », « Le champ des illusions » au château de Tanlay, la Galerie Pietro Sparta avec Robert Morris, le centre d’art contemporain de Pougues-Les-Eaux et l’exposition de Didier Marcel à la Galerie Interface « Magic+Drawing »
HO n°1 – L’appartement, comme lieu d’exposition…
L’actualité de l’art contemporain en Bourgogne durant l’année 1997. Présentation des différents événements avec Interface, la galerie-appartement Domi Nostra à Lyon, le Consortium, l’ouverture des Archives de Ghislain Mollet-Viéville, l’exposition de Sylvia Bossu « les miroirs de courtoisies 3 », l’exposition de Peter Fletcher à la Galerie Barnoud à Dijon et le Centre d’art de Troyes.
HO n°0
L’actualité de l’art contemporain en Bourgogne durant l’année 1997. Présentation des différents événements avec l’exposition à l’Atheneum de Pascale Sequer, Manuel Flamme, Laurence Douadi, Fabrice Lévêque, l’exposition « Un autre gin chéri ? » à Ecole des Beaux-Arts de Dijon, l’exposition de Gérard Collin-Thiébaut Au pavé dans la marre à Besançon, l’exposition d’Hubert Duprat « Cassé-Collé » au Frac, le Consortium et Why Note.